Chante le barde dans un repli du vent
Les talus ont des creux de lumière
Le vieux rêve remonte du fond de nos paupières
A la rocaille de nos mains.
Le puis derrière la vallée
Dort sous l’intense froid du regard des fougères.
Plus loin que le chemin de nos pas
Dans les arènes folles des genêts
Dans l’air tout en spirales où s’extasie Merlin
Le roc enfin s’éveille.